Visiter le deuxième arrondissement de Paris
Cette fois-ci nous sommes vraiment lancés dans notre parcours de visite de tous les arrondissements de Paris et nous allons visiter le deuxième. J’avoue que si j’associe des monuments célèbres à certains arrondissements, celui-ci ne m’inspire rien du tout ! C’est donc l’occasion de découvrir complètement ces lieux, ou de me rendre compte que j’en connaissais déjà certains sans savoir qu’ils se trouvaient dans le 2e. Listons tout ce qu’il y a à découvrir dans le deuxième arrondissement de Paris. Etant donné sa taille, nous allons tout faire à pied ! J’ai réussi à concocter un itinéraire qui relie l’ensemble de ce que nous allons découvrir.
Le quartier de la Bourse
Le Palais Brongniart
On commence fort dès la sortie du métro avec le Palais Brongniart, appelé aussi la Bourse de Paris. En effet, la Bourse de Paris se trouvait dans cet édifice néoclassique bâti de 1807 à 1825 par l’architecte Alexandre-Théodore Brongniart. Avec la construction du palais de la Bourse, Napoléon veut instaurer de l’ordre dans le commerce du pays, les guerres napoléoniennes ayant permis de développer le commerce européen. Ce sera également un bâtiment à la gloire de la France et de ce qu’elle a accompli depuis le début de son règne.
La Bourse de Paris devient, dans la deuxième moitié du XIXe siècle, la deuxième du monde après celle de Londres. Elle a déménagé en 1987, car les échanges sont désormais gérés de façon informatique. C’est maintenant un lieu accueillant des événements tels que des séminaires, des conférences, des salons…
On ne manquera pas de faire le tour du monument et de ses soixante-six colonnes et quelques statues. Non loin de là, au numéro 21 de la rue Notre-Dame-des-Victoires, on peut apercevoir un vitrail décorant ce qui était la salle de délibération du siège de la chambre de commerce de Paris.
L’Opéra-Comique
Pour se rendre à l’Opéra-Comique, on emprunte la rue de la Bourse. Remarquez la rue des Colonnes, exemple assez rare d’un ouvrage réalisé lors de la période Révolutionnaire. Les colonnes de style néogrec se retrouveront plus tard dans la conception de la rue de Rivoli. Les trottoirs couverts qu’elles forment préfigurent les passages couverts du XIXe siècle. Une fois sur la rue de Richelieu, on prend à droite puis à gauche sur la rue Saint-Marc.
Nous arrivons place Boieldieu. Le théâtre National de l’Opéra-Comique se trouve sur la droite. Cet édifice fût construit à trois époques. Le bâtiment actuel date de 1898. Admirez la richesse des décors de la façade !
D’ailleurs, petit aparté, savez-vous ce qu’est l’Opéra-Comique ? Ce n’est pas quelqu’un qui raconte des blagues en chantant, non ! C’est une pièce de théâtre qui alterne des dialogues chantés et des dialogues parlés.
Les visites se font sur réservation.
La Bibliothèque Nationale de France et les alentours
Nous retournons rue Richelieu. Nous ne tardons pas à arriver devant un grand mur assez austère. C’est celui du site historique de la Bibliothèque Nationale de France, celle-ci ayantdepuis déménagé dans le XIIIe arrondissement et possédant des annexes dans plusieurs villes du pays. Le bâtiment, qui comporte une partie du palais du cardinal Mazarin, date du XVIIe siècle. L’architecte Robert de Cotte réalise des travaux au siècle suivant et la bibliothèque royale s’y installe. De même que la Bourse de Paris !
Quand j’y suis allé, le site était en travaux mais il est possible de voir la salle de lecture à coupoles, réalisée au XIXe siècle par l’architecte Henri Labrouste.
A côté, au 5 rue Vivienne, le Musée des Monnaies, Médailles et Antiques est lui aussi en travaux. J’ai hâte de découvrir ce qu’il s’y cache, tel que le jeu d’échecs de Charlemagne !
En face se trouve l’un des seuls espaces verts du deuxième arrondissement : le square Louvois. Il se trouve à l’emplacement de l’ancien opéra de Paris de 1794 à 1820. En 1820 justement, le duc de Berry, qui était le neveu du roi Louis XVIII, fut assassiné à la sortie de l’opéra ! Cet assassinat marque celui de l’opéra d’alors : Louis XVIII le fait démolir, et avec lui le lieu du drame disparait. Le square date de 1839 et on trouve en son centre la fontaine Louvois réalisée par l’architecte Louis Visconti en 1844.
Dans le reste de la rue Richelieu, une plaque nous indique l’appartement où Molière est mort. Une statue réalisée en 1844 par Visconti commémore le dramaturge et comédien.
Retournons rue des Petits Champs pour la suite de la visite !
Autour de la Place des Victoires
Les premiers passages couverts : la galerie Colbert et la galerie Vivienne
Dans la rue des Petits Champs, je suis passé devant la galerie Colbert sans la voir ! Les visites des passages commençaient bien… J’ai donc débuté par la galerie Vivienne percée en 1823. Ce passage de style pompéien néo-classique est la plus belle de l’arrondissement selon moi. En grande partie grâce à sa grande verrière, ses mosaïques au sol et l’élégance des murs. Son emplacement, non loin du Palais Royal, de la Bourse et des Grands Boulevards, a longtemps garanti son succès, avant que les commerces de luxe ne déménagent aux Champs-Elysées. Peu fréquentée, victime d’un incendie en 1891 et déclassée de la liste des Monuments Historiques, elle aurait même pu être détruite au XXe siècle !
Le visiteur attentif remarquera des symboles des francs-maçons à plusieurs endroits de la galerie.
En revenant sur nos pas – si comme moi, vous l’avez manqué – dans la rue des Petits Champs, la galerie Colbert, qui date de 1826. C’est la grande rivale de la galerie Vivienne, bien qu’elle n’ait pas connu le même succès. Elle a été entièrement rénovée dans les années 1980 et fait maintenant partie de la Bibliothèque nationale de France. D’ailleurs, il y a dans les deux galeries des magasins de livres anciens. A voir absolument : la grande rotonde qui surplombe une statue représentant Eurydice. J’y suis retourné plus tard au cours de mes visites. Il n’aurait quand même pas fallu que je rate ça !
Je vous laisse choisir : plutôt passage Colbert ou galerie Vivienne ? Quel est votre préféré ?
La Place des Victoires
Un roi, ça peut avoir beaucoup de courtisans, avides de privilèges. Louis XIV ne faisait pas exception. Le maréchal La Feuillade fût l’un d’eux. Afin de prouver son attachement au roi, il fait construire cette place circulaire pour sept millions de livres par l’architecte Jules Hardouin-Mansart en 1678. La statue actuelle de Bosio, représentant Louis XIV à cheval, remplace l’originale du Roi-Soleil en costume de sacre.
Depuis la place, la rue Catinat offre une vue sur la Banque de France. Ce bâtiment, qui ne se visite que lors des journées du patrimoine, est célèbre pour sa galerie dorée. Elle est vraiment resplendissante. Ainsi, ce sont de très nombreuses personnes qui la visitent un week-end par an ! Le samedi, j’ai eu la malchance d’être le premier à être arrivé trop tard pour pouvoir entrer. Heureusement, j’ai pu y accéder le lendemain.
Autour de la basilique Notre-Dame-des-Victoires
Parmi toutes les routes partant de la Place des Victoires, nous empruntons la rue Vide Gousset.
A droite, des hôtels du XVIIe siècle se trouvent aux numéros 5 et 7.
Cette rue n’est pas précurseur de l’internet. Le pail-mail était un jeu populaire au Moyen-Âge !
A gauche, La basilique Notre-Dame-des-Victoires fait face à la place des Petits-Pères. En 1629, Louis XIII remporte le siège de La Rochelle. Pour célébrer sa victoire, il fait construire cette église. Les intentions, c’est bien, mais faut-il avoir le financement nécessaire. La construction de cette église se termine en 1740 ! Elle possède de belles boiseries du XVIIe siècle et des tableaux de Van Loo. Mais l’élément distinctif de cette église est plutôt les ex-voto. Ils sont au nombre de 35 000 !
Pour ceux ayant oublié leurs cours de latin, un ex-voto est une plaque que l’on place dans une église pour remercier Dieu pour l’accomplissement d’un vœu.
Sur la place des Petits-Pères, saurez-vous retrouvez les fenêtres en trompe-l’œil ?
La Tour Jean-sans-Peur
Un peu de marche maintenant ! Nous empruntons la rue Etienne Marcel pour nous rendre à la tour Jean-sans-Peur. En chemin, nous pouvons faire un détour par la rue Montorgueil. On trouve dans cette rue très fréquentée des restaurants présents depuis le XIXe siècle et des maisons anciennes entre les numéros 15 et 25.
La Tour Jean-sans-Peur date de 1409. Jean-sans-Peur mérite bien son nom. En 1407, en pleine guerre de Cent Ans, et alors que la France fait également face à une guerre civile entre Armagnacs et Bourguignons, le duc de Bourgogne fait assassiner Louis d’Orléans. Or, ce dernier est tout de même le frère du roi de l’époque, Charles VI. Acte qui pourrait lui causer des ennuis. Jean-sans-Peur fait alors bâtir cette imposante tour médiévale. Avant d’avoir une fonction défensive, elle a surtout vocation à impressionner ses rivaux.
Aujourd’hui, on y trouve des expositions sur le Moyen-Âge, des vêtements de l’époque et des informations sur Jean-sans-Peur et les ducs de Bourgogne. Mais la pièce maîtresse de la tour est sans conteste la voûte sculptée de style gothique flamboyant. Ce décor végétal, unique en France, vaut à lui seul la visite !
Vers le quartier du Sentier
Le passage du Grand Cerf
Rebroussons chemin pour prendre la rue Française, puis la rue Tiquetonne sur la droite et enfin la rue Dussoubs.
Ce passage date de 1825. Mais ce qu’on voit là est une reproduction à l’identique datant de 1990 ! Ses éléments distinctifs sont, outre sa verrière, ses passerelles en fer forgé. Le passage du Bourg l’Abbé se trouve dans son prolongement. Son entrée en pierre est encadrée par deux cariatides représentant le Commerce et l’Industrie. C’est l’architecte Henri Blondel qui la réalisa. Ce dernier n’est nulle autre que l’architecte du palais de la Bourse.
Revenons rue Dussoubs et commençons une longue marche
La rue Réaumur
La marche vaut la chandelle, croyez-moi ! Vous vous trouvez ici dans la rue Art Nouveau de Paris. Il y en a tout le long de la rue : aux numéros 51, avec sa rotonde, ses guirlandes et médaillons, 61-63, avec sa façade romano-byzantine, 100, 116, avec sa façade primée en 1897, 118, lui aussi à la façade primée en 1900, 124… Ces bâtiments, mêlant souvent grandes vitres et armatures en fer, accueillaient des imprimeries et le siège de plusieurs journaux de l’époque. Ces industries nécessitent en effet de la lumière !
Le quartier du Sentier
Pour la suite de la visite, nous empruntons la rue Dussoubs une nouvelle fois, dans le même sens que précédemment. Nous arrivons à la rue du Caire et, en tournant à gauche, sur la place du même nom.
La campagne domine encore dans ce quartier au XVIIe siècle. Après la démolition des murailles et l’assainissement des lieux, des artisans s’y installent. Ils sont progressivement rejoints par de nombreux immigrés : des juifs russes et polonais, des arméniens, puis après les indépendances des maghrébins et enfin, des pakistanais et des sri-lankais… C’est historiquement un quartier d’ateliers et ces immigrés se retrouvent dans les métiers de la manutention.
La zone égyptienne de Paris
Une chose que l’on remarque, ce sont les noms égyptiens de plusieurs rues. Il n’y a pas de rapport avec l’immigration dont on a parlé précédemment. Les rues doivent leur nom à la campagne d’Egypte de Bonaparte en 1798. En rentrant en France, il ramena des tendances égyptiennes avec lui. Depuis la place du Caire, mais une entrée se trouvait également en face de la rue Dussoubs, le passage du Caire s’ouvre à nous. Ce passage est bien plus calme que les précédents. Au-dessus de l’entrée du côté de la place du Caire, des têtes de sphinx observent la place. Nous pouvons également observer des hiéroglyphes. Tout cela témoigne du style égyptien qui gagna Paris au retour de Bonaparte de la campagne d’Egypte.
La rue de Cléry
Depuis la place du Caire, nous empruntons la rue d’Aboukir en tournant à droite. Les plus attentifs d’entre vous remarquerons au cours de la visite que cette rue débute à la Place des Victoires. La rue Saint-Philippe, sur le côté gauche, mène à la rue de Cléry.
En tournant à gauche, nous pouvons voir une statue de Sainte-Catherine à l’angle de la rue de Cléry avec la rue Poissonnière. En tournant à droite et en parcourant cette rue, dont le tracé longeait une partie de l’enceinte de Charles V, nous arrivons au numéro 97 devant l’une des plus étroites maisons de Paris. Je dirais qu’elle fait seulement quelques mètres de large à son extrémité, à peine plus qu’un couloir !
Un peu avant cela, la rue de Cléry est reliée à la rue Beauregard par la rue des Degrés. Enfin, si on peut appeler ça une rue, car c’est en fait un escalier de quatorze marches. Ni plus, ni moins. C’est ici que le baron de Batz et ses amis essayèrent de faire évader Louis XVI le 21 janvier 1793, juste avant son exécution.
L’église Notre-Dame-de-Bonne-Nouvelle
Pour arriver devant cette église, nous tournons à gauche dans la rue Beauregard et arrivons au chevet de l’église. La rue éponyme nous mène devant l’entrée. Anne d’Autriche fait construire une église au milieu du XVIIe siècle. Il n’en reste aujourd’hui que le clocher. Lorsque la mairie de Paris en fait l’acquisition en 1803, les dégâts causés lors de la Révolution menacent l’édifice de ruine. L’architecte Etienne-Hippolyte Godde bâtit une nouvelle église de 1823 à 1830. Sans le clocher, cette église néoclassique pourrait faire penser à un temple par la sobriété de ses façades latérales et les colonnes doriques ornant le porche.
A l’intérieur, on peut voir plusieurs tableaux et une nef entourée de colonnes doriques.
Je n’ai malheureusement pas pu la visiter car elle était fermée quand j’y suis passé. Attention donc si vous y allez l’été.
Le cinéma le Grand Rex
En sortant de l’église Notre-Dame-de-Bonne-Nouvelle, nous prenons la rue de la Lune sur la gauche puis la rue Poissonnière à droite. Nous arrivons au Grand Rex. Ce cinéma Art Déco voit le jour en 1932 et peut accueillir depuis plus de 2600 personnes rien que dans sa salle principale ! Cette salle vaut d’ailleurs le détour à elle seule. Alors si en plus nous ajoutons les marathons Harry Potter, Seigneur des Anneaux ou autres qui y ont lieu, c’est un site génial à ne pas manquer !
Un passage de passage en passage
Ça fait beaucoup de passages dans ce titre, soit dit en passant…
Empruntons le boulevard Poissonnière à gauche, puis la rue Montmartre à gauche et la rue Saint Marc à droite.
Le passage des Panoramas
C’est l’un des plus anciens passages de Paris. Ouvert en 1800, il dispose d’un éclairage au gaz dès 1817 ! Reliant de quartier du Palais Royal aux Grands Boulevards, on peut imaginer qu’il devait être assez fréquenté. Aujourd’hui, on y trouve des magasins de philatélie et des restaurants bon marché. Dont un restaurant marocain !
Le passage Jouffroy
Le passage Jouffroy se trouve juste en face du passage des panoramas. Datant de 1846, c’est le premier passage à bénéficier d’un plafond et d’une charpente en fonte et d’un chauffage par le sol. On y trouve des magasins de jouets anciens, des librairies d’art et même un hôtel : l’hôtel Chopin.
Nous sommes en réalité dans le neuvième arrondissement ! Mais autant profiter de notre lancée dans la visite des passages couverts parisiens.
Le passage Verdeau
Lui aussi dans la prolongation du précédent, il date de la même année. On trouve dans ce passage doté d’une haute verrière des magasins de livres et de cartes postales anciennes.
Mais retournons dans le deuxième arrondissement !
Le passage des Princes
En prenant la rue de la Grange Batelière à gauche (en étant face au passage Verdeau) puis la rue Drouot qui se prolonge avec la rue de Richelieu, nous arrivons devant le passage des Princes.
C’est le passage le plus jeune dont il est question dans cet article. Bon, 1860, c’est quand même il y a longtemps ! Mais il a été détruit en 1985 et reconstruit à l’identique en 1995. On y trouve plein de magasins de jouets. Le passage parfait avant Noël.
A l’autre bout du passage, le boulevard des Italiens nous amène, si nous tournons à gauche, au boulevard des Capucines, à la place de l’Opéra que l’on traverse, et enfin au numéro 27. Ce bâtiment Art Nouveau accueille en 1917 une annexe de luxe de la Samaritaine. Annexe qui semble désormais avoir déménagé dans le magasin principal, étant donné les prix !
Au numéro 35, la façade vitrée est celle de l’ancien atelier du photographe Nadar. C’est un photographe du XIXe siècle.
A gauche, la rue Daunou coupe la rue de la Paix. Cette dernière mène à la place Vendôme et accueille elle aussi des magasins de joaillerie.
Nous traversons de nouveau l’avenue de l’Opéra et empruntons la rue Saint-Augustin. Nous arrivons à la place Gaillon. En plus de la fontaine Gaillon, du nom d’un hôtel autrefois situé à l’emplacement de l’église Saint-Roch, se trouve le restaurant Drouant. C’est ici qu’on remet le prix Goncourt depuis 1914.
Le passage Choiseul
Sur la droite, perpendiculaire à la rue Saint-Angustin, le passage Choiseul a été ouvert en 1827. Des façades semblables à celles d’immeubles encadrent ce qui est le plus long passage couvert parisien. Malgré la baisse d’activité qu’il a connue, l’installation du couturier Kenzo dans les années 1970 lui donna un second souffle.
Le quartier Saint-Anne
Le passage Choiseul est perpendiculaire au passage Saint-Anne (de 1829). Celui-ci débouche sur la rue Sainte-Anne, le quartier japonais de Paris. Ce serait dommage de ne pas y manger pour reprendre des forces après cette longue visite ! En plus des restaurants japonais, on y trouve des agences de voyages et des librairies. Mais pour ça, vous pouvez compter sur ThibaudVoyage. Bien que j’admette que le blog ne soit pas aussi complet que ces librairies. Mais j’y travaille !
A l’angle de la rue Sainte-Anne avec la rue des Petits-Champs, le compositeur Lully y fit construire cet hôtel avec ses mascarons en 1671.
A ne pas manquer
Le meilleur passage couvert : le passage Colbert ou la galerie Vivienne.
La plus belle église : la basilique Notre-Dame des Victoires.
Les monuments emblématiques : le palais de la Bourse et l’Opéra Comique.
Ne pas oublier la place des Victoires.
Le mot de la fin
Ce que je retiendrai du deuxième arrondissement, ce sont surtout tous ces passages. D’ailleurs, n’hésitez pas à partager vos préférés ! Le nombre important des passages feraient presque oublier les autres points d’intérêt de cet arrondissement : le palais de la Bourse, la place des Victoires, la tour Jean-sans-Peur…
2 réflexions sur « Visiter le deuxième arrondissement de Paris »
Très sympa et pratique le sommaire interactif pour s’y retrouver dans cet article très détaillé ! Qui donne envie d’aller visiter le 2e en suivant @ThibaudVoyage !!
Merci
Super, je suis content si ce sommaire sert !
A plus tard pour d’autres arrondissements